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les nouvelles de Jacques Martel

les nouvelles de Jacques Martel

En toute humilité, je travaille ma pierre brute et j'écris pour mon plaisir, peut être le vôtre, pour polir la pierre qui est en moi sans autre ambition


Un samedi pas comme les autres.​​​​​​​ 7ème partie : Va et Vient une nouvelle de Jacques Martel

Publié par Honneur et Patrie sur 16 Mars 2019, 20:31pm

Catégories : #jacques Martel, #nouvelle

Un samedi pas comme les autres.​​​​​​​ 7ème partie : Va et Vient une nouvelle de Jacques Martel

7ème partie : Va et Vient

 

C’est toujours très important pour nous de nous retrouver. Dans ces moments-là, nous refaisons tout de suite l’amour à deux. Il s’agit bien là de refaire l’amour, pas de baiser.

 

Isha était allongée, presque en position fœtal, les mains sous la tête, et une jambe tendue. Elle sait que j’aime cette position, qui me permet d’avoir accès à sa chatte comme à son cul, tout en lui voyant les seins, et son petit bedon. Il me suffit de lui soulever une jambe pour voir sa chatte.

 

Alors qu’elle restait dans cette position, j’ouvrais un paquet de gel. Ainsi mes intentions étaient claires, j’allais la lui mettre dans le cul. L’anal ce n’est pas son truc préféré, mais elle y consent bien volontiers, et y prend même plaisir quand elle veut.

 

Alors qu’elle était dans sa position quasi fœtal, je me mettais à cheval sur sa jambe gauche, et remontais jusqu’à ses fesses. Je lui mettais délicatement une noix de gel sur le petit, puis j’en mettais pléthore sur le bout de mon gland. J’appliquais celui-ci sur l’anus, et je commençais la pénétration. Doucement, d’abord. En la matière, la sodo c’est comme les impôts, c’est toujours le premier tiers qui est le plus dur à faire passer. Je faisais pénétrer délicatement mon gland dans son antre secrète. Je faisais une pause, histoire de l’habituer, puis je poussais mon avantage plus loin. Une fois ma queue en place, au plus profond de ses entrailles, alors je faisais un léger pas en arrière, façon de dire, puis je retournais en avant. J’appliquais ce mouvement jusqu’à ce que son cul ce soit habitué à ma queue, et qu’Isha me dise alors : «c’est bon».

 

Je sortais alors ma queue de son cul, et d’un mouvement brusque, je prenais possession de sa chatte. Deux trois aller- retour, et je prenais mes droits dans son cul, pour faire quelques aller-retour, pour retourner dans sa chatte, et ainsi de suite. Entre nous, nous appelons ça un « VV » pour Va et Vient ». Pas juste un va et vient en avant et en arrière, mais un « Va dans chatte, Viens dans mon cul, Va dans ma chatte, Viens dans mon cul» sans oublier de lui titiller le clit au passage.

 

«Oh oui c’est bon ça, continue, profite » me dit-elle. J’accentuais donc mes coups de butoirs, surtout dans sa chatte, afin de lui faire plaiz. Mais à ce rythme moi qui était sous pression depuis le début de la soirée, voire depuis le début d’après-midi, d’autant que je ne mettais pas branlé de la journée, chose rare, je sentais que ça aller faire crème, enfin je veux dire rapide. Pour ce qui est de la crème, je sentais la sève monter. Elle tirait la langue parfois. C’est un automatisme chez elle. Qu’elle en prend son pied, elle tire des coups de langue comme pour laper, lécher une autre queue. Elle a été bien dressée. Ma queue allait de sa chatte à son cul, de son cul à sa chatte, ne faisant plus à chaque fois qu’un aller-retour, avant d’aller faire le suivant dans l’autre conduit d’amour, avant d’y revenir. Le contraste du contact autour de ma queue est saisissant, tellement il est différent de l’un à l’autre. J’allais de plus en plus vite, ne ménageant plus son anus, le passage ayant été fait. A chaque fois que je la pénétrais dans la chatte elle me disait «oh oui». A chaque fois que ma queue lui prenait le cul, elle me disait «vas-y». J’allais et je venais, je venais et j’allais, dans un va et vient frénétique, quand un grand coup de rein alla stopper ma queue au plus profond de son cul. Je rallais, je m’immobilisais. Mon périnée se contractait à plusieurs reprises, en fait autant qu’il y eut de  saccade de foutre.

 

Nous n’avions pas changé de position. Isha se tournait tout sourire vers moi. Elle ouvrait sa bouche et sortait sa langue. Non pas pour lécher une queue virtuelle (ou pas), comme pendant l’acte, mais pour m’embrasser. Je prenais sa bouche aussi vigoureusement que je lui avais prise le cul, pour répondre à sa demande par un baiser passionné.

 

Un connard, sans doute arrivé après la bataille, dit par un trou : «vas-y défonce là cette salope».  Il ne s’avait pas qu’il est une chose dont Isha a horreur, c’est la vulgarité. On eut peut aimer la queue sans être vulgaire, et respecter son ou sa partenaire.

 

Nous nous levions en méprisant ce personnage, jetions capotes et draps, faisions un peu de ménage en deux deux pour les suivants, c’est aussi ça l’esprit libertin, le respect jusque dans l’hygiène et le ménage.

 

Puis ce fut sauna pour la belle, et piscine pour moi, quand voyant trop d’hommes seuls y rentrer, j’allais la «sauver». Nous prenions alors un rafraîchissement : cocktail à base de noix de coco pour moi, et jus d’ananas pour Isha. Puis départ, toujours difficile de se rhabiller après avoir passé une soirée nu.

 

Dans la voiture, comme d’habitude, dès notre sortie de la ville, la belle s’était endormie. Je roulais en écoutant le dernier album de Chris Isaak, et jetant un regard à ma femme, par moment. Elle est belle. Sa poitrine, ses gros seins se soulevaient au rythme de sa respiration. J’avais déjà de nouveau envie d’elle.  Un quart de siècle après, elle me fait toujours autant d’effet. Mais….

 

Ce ne fut vraiment pas un samedi comme les autres.

 

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